Manque d’adhésion, longueur, désengagement : sur le sujet de la formation et du conseil en visio-conférence, la liste des a priori est longue… Et pourtant ! Avec la traversée de cette crise inédite, depuis plusieurs semaines, 1’PULSER fait tomber les a priori et gagne l’adhésion croissante de ses clients à ce mode d’accompagnement à distance.
« Cela fait déjà un certain temps que nous travaillons sur le déploiement de nos prestations en visio » précise Fabien ROSSIAUD, dirigeant 1’PULSER. « L’arrivée de cette crise ne nous a pas laissé le choix mais surtout, elle nous ouvre de nouvelles perspectives. Aujourd’hui, sur le sujet de la formation par exemple, avec la pratique, nous sommes en mesure de dire qu’il suffit de peu de choses pour que l’accompagnement fonctionne à distance et que les objectifs soient atteints.
Régine EYRAUD, responsable formation chez ALTROS, entreprise de portage salarial, en témoigne :
« Chez ALTROS, la décision de proposer nos formations à distance était prise déjà. Quand la perspective du confinement est survenue, 1’PULSER avec qui nous travaillons depuis 3 ans, nous a immédiatement fait savoir que l’équipe était en mesure de maintenir en distanciel les journées prévues. Une réelle bonne nouvelle pour nous ! Le contexte a eu un effet accélérateur et nous a mis le pied à l’étrier d’une démarche dont nous étions déjà convaincus. Pour nous, le distanciel est un vrai levier pour mieux remplir les formations et pour toucher plus de consultants, clients d’Alltros. La pratique nous le confirme, le taux de participation à notre dernière journée de formation à distance avec 1’PULSER est excellent ; nos clients adhèrent mais au-delà de ça, ils sont conquis. Tous se sont inscrits avec l’a priori qu’à distance il leur manquerait quelque chose. A l’issue de la journée tous nous expriment qu’aucun n’a vu le temps passer et qu’un vrai lien s’est créé entre eux malgré la distance. Tous ont souligné la dextérité du formateur pour faciliter la prise en main de l’outil. Pari gagné donc, mais aussi et surtout, un résultat qui pousse à la réflexion quant à la part du distanciel dans notre offre, à l’avenir ».
Force est de constater que les a priori existent et que certains, toutes proportions gardées, sont justes. En effet, lorsque la formation ou l’accompagnement est descendant, difficile de garder l’engagement ou l’attention des participants !
« Le résultat obtenu à distance dépend essentiellement de deux facteurs : d’abord l’environnement de travail. Le participant doit être en mesure de se créer une bulle isolée de toute perturbation extérieure avec une bonne connexion internet. Ensuite, la réussite tient à la méthode d’animation » reprend Fabien ROSSIAUD. « Et je vais plus loin, si une séance de conseil ou de formation perd l’engagement de ses participants en distanciel, elle ne l’obtiendra pas plus en présentiel. Chez 1’PULSER, qu’il s’agisse de conseil ou de formation, en individuel ou en groupe, notre accompagnement est structuré de telle sorte que chaque participant est engagé et reste motivé du début à la fin. Pour nous il s’agit de créer un véritable espace d’apprentissage et d’approfondissement des compétences. En bref, pour le distanciel, un bon espace de travail allié à une méthode pédagogique performante… Et bim ! ça marche ».
Un parti pris affirmé que confirme Claudia CONTI, Conseillère en développement commercial à la CCI de la Haute-Savoie :
« En général, les entreprises sont réticentes quant à la formation à distance et je dois avouer que j’avais moi-même des a priori. On se dit que ça va être long, que ça va manquer de fluidité et qu’on ne repartira pas avec autant d’acquis qu’en présentiel. Malgré cela, dans la traversée de la crise actuelle, nous avons fait le choix de répondre présent pour les entreprises et de les soutenir notamment grâce au déploiement de plusieurs formations à distance avec 1’PULSER dans le cadre du programme régional Commercial Ambition PME. Plus que positif, le bilan est surprenant, c’est comme si on y était ! Chaque étape prend sa place ; le contenu est complet, les échanges sont fluides et l’interaction entre les participants est aussi dynamique qu’en présentiel. Je suis persuadée que cette expérimentation forcée du distanciel va nous pousser à envisager différemment nos modes de collaboration lorsque nous serons sortis de la crise ».
Plus que des perspectives, reste à se demander s’il ne s’agit pas ici d’une transformation plus profonde de nos habitudes de travail que nous sommes en train de mettre en place pour l’avenir.